DOSSIER L’avenir écologique en Afrique ; état des lieux

L’Afrique est un continent qui fait face à de nombreux défis environnementaux, tels que le changement climatique, la dégradation des sols, la perte de biodiversité, la pollution, la gestion de l’eau et des déchets. Ces défis menacent la sécurité alimentaire, la santé, le développement économique et social, et la paix du continent. Selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), l’Afrique s’est réchauffée plus rapidement que la moyenne mondiale, entraînant une augmentation des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes, tels que les sécheresses, les inondations, les cyclones, les canicules et l’élévation du niveau de la mer. Ces phénomènes ont des impacts dévastateurs sur les populations, les infrastructures, les écosystèmes et les services écosystémiques.

Face à cette situation, l’Afrique a besoin d’une transition écologique, c’est-à-dire d’un changement profond de ses modes de production et de consommation, afin de réduire ses émissions de gaz à effet de serre, de s’adapter aux effets du changement climatique, de préserver ses ressources naturelles et de promouvoir un développement durable et inclusif. Cette transition écologique implique des transformations dans les secteurs de l’énergie, de l’agriculture, de l’industrie, des transports, de la finance, de l’urbanisme, de l’éducation et de la gouvernance. Elle nécessite également la participation et la mobilisation de tous les acteurs : les États, les organisations régionales, les collectivités locales, le secteur privé, la société civile, les communautés locales et les citoyens.

Quels sont les exemples de projets et d’initiatives qui illustrent la transition écologique en Afrique ? Quelles sont les opportunités et les contraintes qui se présentent pour l’avenir du continent ? Voici quelques éléments de réponse :

Dans le domaine de l’énergie, l’Afrique dispose d’un potentiel important en matière d’énergies renouvelables, telles que le solaire, l’éolien, l’hydroélectrique, la biomasse, la géothermie et le biogaz. Ces énergies permettent de réduire la dépendance aux combustibles fossiles, de diversifier le mix énergétique, de renforcer la sécurité énergétique, de réduire les coûts et de créer des emplois. Plusieurs pays africains ont mis en place des politiques et des projets visant à développer les énergies renouvelables, notamment le Maroc, l’Afrique du Sud, le Kenya, l’Éthiopie, le Sénégal, le Rwanda et le Burkina Faso. Par exemple, le Maroc a lancé le Plan solaire marocain, qui vise à produire 42 % de son électricité à partir de sources renouvelables d’ici 2020, dont 14 % à partir du solaire. Le pays a construit la plus grande centrale solaire thermodynamique du monde, Noor Ouarzazate, qui a une capacité de 580 MW2. L’Afrique du Sud a mis en place le Renewable Energy Independent Power Producer Procurement Programme (REIPPPP), qui a permis d’attirer plus de 14 milliards de dollars d’investissements privés dans les énergies renouvelables depuis 2011, et de créer plus de 35 000 emplois. Le Kenya a développé le plus grand parc éolien d’Afrique, le Lake Turkana Wind Power Project, qui a une capacité de 310 MW et fournit 15 % de l’électricité du pays. L’Éthiopie a construit la plus grande centrale géothermique d’Afrique, le Corbetti Geothermal Project, qui a une capacité de 500 MW et permet de réduire les émissions de CO2 de 1,2 million de tonnes par an. Le Sénégal a inauguré la plus grande centrale solaire d’Afrique de l’Ouest, le Senergy 2, qui a une capacité de 20 MW et alimente 160 000 personnes. Le Rwanda a installé le premier parc solaire flottant d’Afrique, le Nishati Nyiru, qui a une capacité de 3,3 MW et réduit la pression sur les terres agricoles. Le Burkina Faso a lancé le Programme national des biocarburants, qui vise à produire du biodiesel à partir de la plante jatropha et à réduire la consommation de gasoil de 10 % d’ici 2028.

Dans le domaine de l’agriculture, l’Afrique fait face à des défis majeurs, tels que la croissance démographique, la sécurité alimentaire, la dégradation des sols, la perte de biodiversité, la sécheresse, les ravageurs et les maladies. Pour y faire face, l’Afrique a besoin d’une agriculture écologique, c’est-à-dire d’un mode de production qui respecte les principes de l’agroécologie, qui combine les savoirs traditionnels et les innovations scientifiques, qui préserve les ressources naturelles et la biodiversité, qui réduit les intrants chimiques et les émissions de gaz à effet de serre, qui améliore la résilience des systèmes agricoles et qui valorise les produits locaux et de qualité. Plusieurs pays africains ont adopté des politiques et des pratiques favorables à l’agriculture écologique, notamment le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Bénin, le Kenya, l’Éthiopie, le Malawi et le Zimbabwe. Par exemple, le Sénégal a mis en place le Programme national d’agriculture biologique, qui vise à promouvoir l’agriculture biologique et à certifier les produits issus de ce mode de production. Le pays compte plus de 30 000 producteurs biologiques et exporte des produits tels que le coton, le sésame, le fonio, le mangue et l’ananas. Le Burkina Faso a développé le Programme de gestion durable des terres, qui vise à restaurer les sols dégradés et à augmenter la productivité agricole à travers des techniques telles que le zaï, le compost, le paillage, le cordons pierreux et les haies vives. Le pays a réussi à réhabiliter plus de 300 000 hectares de terres dégradées et à augmenter les rendements de 30 à 50 %. Le Mali a initié le Projet de développement de l’agriculture familiale écologique, qui vise à renforcer les capacités des organisations paysannes et à promouvoir l’agroécologie à travers des formations, des échanges, des démonstrations et des plaidoyers. Le projet a permis d’atteindre plus de 10 000 producteurs et de réduire l’utilisation des engrais chimiques de 75 %. Le Bénin a lancé le Projet d’appui à la promotion de l’agriculture écologique, qui vise à soutenir les producteurs dans la transition vers l’agroécologie et à créer des marchés locaux pour les produits écologiques. Le projet a permis de former plus de 2 000 producteurs et de créer 12 marchés écologiques. Le Kenya a développé le Projet de promotion de l’agriculture biologique et écologique, qui vise à améliorer la sécurité alimentaire et les revenus des petits agriculteurs à travers l’agroécologie et la certification participative. Le projet a permis d’atteindre plus de 20 000 producteurs et de créer 15 groupes de certification participative. L’Éthiopie a mis en œuvre le Projet de développement de l’agriculture biologique, qui vise à promouvoir l’agriculture biologique et à accroître les exportations de produits biologiques tels que le café, le miel, le sésame et les fruits. Le projet a permis d’atteindre plus de 15 000 producteurs et d’augmenter les exportations de produits biologiques de 20 %. Le Malawi a réalisé le Projet de promotion de l’agroforesterie, qui vise à améliorer la fertilité des sols et la production agricole à travers la plantation d’arbres fixateurs d’azote. Le projet a permis de planter plus de 200 millions d’arbres et d’augmenter les rendements de 50 à 400 %. Le Zimbabwe a expérimenté le Projet de conservation de l’eau et des sols, qui vise à réduire l’érosion des sols et à augmenter la rétention de l’eau à travers des techniques telles que le contour farming, le tied ridging, le dead level contour et le infiltration pit. Le projet a permis de réduire les pertes de sol de 80 % et d’augmenter les rendements de 15 à 100 %.

Dans le domaine de l’industrie, l’Afrique est confrontée à des enjeux tels que la diversification économique, la compétitivité, la création d’emplois, la réduction de la pauvreté, la protection de l’environnement et la promotion de l’innovation. Pour y répondre, l’Afrique a besoin d’une industrie écologique, c’est-à-dire d’un mode de production qui intègre les principes de l’éco-conception, de l’éco-efficacité, de l’économie circulaire, de la responsabilité sociale et environnementale, de la qualité et de la traçabilité. Plusieurs pays africains ont adopté des stratégies et des initiatives visant à développer l’industrie écologique, notamment le Maroc, la Tunisie, l’Égypte, le Ghana, le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud. Par exemple, le Maroc a élaboré la Stratégie nationale de développement durable, qui vise à faire du Maroc un pays émergent à l’horizon 2030, en s’appuyant sur une croissance verte et inclusive, basée sur l’innovation, l’efficacité énergétique, la valorisation des déchets et la protection de l’environnement. Le pays a mis en place des pôles de compétitivité dans des secteurs clés, tels que l’automobile, l’aéronautique, le textile, l’agroalimentaire et les énergies renouvelables, qui favorisent la coopération entre les acteurs publics, privés, académiques et de la société civile, et qui encouragent l’innovation, la recherche et le développement, la formation et la certification. La Tunisie a lancé le Programme national de promotion de l’écologie industrielle, qui vise à accompagner les entreprises industrielles dans la mise en œuvre de pratiques éco-efficientes, telles que la réduction de la consommation d’énergie et d’eau, la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la valorisation des déchets et des sous-produits, la substitution des matières premières et l’amélioration de la qualité des produits. Le programme a permis de réaliser plus de 300 audits énergétiques et environnementaux, de former plus de 1 000 cadres et techniciens, et de générer des économies annuelles de 15 millions de dollars. L’Égypte a mis en œuvre le Projet de développement des zones industrielles vertes, qui vise à créer des zones industrielles intégrées, qui offrent des infrastructures et des services adaptés aux besoins des entreprises, qui respectent les normes environnementales et sociales, et qui favorisent la synergie et la complémentarité entre les activités industrielles. Le projet a permis de créer deux zones industrielles vertes, l’une à Sadat City et l’autre à Borg El Arab, qui accueillent plus de 200 entreprises dans des secteurs tels que le textile, le cuir, le plastique, le métal et le bois. Le Ghana a développé le Projet de promotion de l’économie circulaire, qui vise à soutenir les entreprises dans la transition vers un modèle économique qui minimise les déchets et maximise la valeur des ressources, à travers des actions telles que le recyclage, la réutilisation, la réparation, la régénération et la réduction. Le projet a permis de former plus de 500 entrepreneurs et de créer plus de 100 emplois verts dans des domaines tels que la gestion des déchets électroniques, la production de biogaz, la fabrication de briques écologiques et la transformation de déchets plastiques en pavés. Le Nigeria a initié le Projet de renforcement des capacités en éco-conception, qui vise à former les entreprises dans la conception de produits et de services qui réduisent les impacts environnementaux tout au long du cycle de vie, à travers des critères tels que la durabilité, la fonctionnalité, l’esthétique, la sécurité et la qualité. Le projet a permis de former plus de 300 entreprises et de créer plus de 50 produits éco-conçus dans des secteurs tels que le textile, le mobilier, l’éclairage, l’emballage et les cosmétiques. Le Kenya a mis en place le Programme de responsabilité sociale et environnementale des entreprises, qui vise à sensibiliser et à accompagner les entreprises dans l’intégration des principes du développement durable dans leur stratégie, leur gouvernance, leur gestion et leur communication, à travers des outils tels que le reporting, la certification, le label, le code de conduite et le dialogue avec les parties prenantes. Le programme a permis d’atteindre plus de 1 000 entreprises et de créer plus de 20 labels et certifications dans des domaines tels que la qualité, l’environnement, la sécurité, l’éthique et la performance sociale. L’Afrique du Sud a élaboré la Stratégie nationale de l’économie verte, qui vise à accélérer la transition vers une économie verte, qui crée des opportunités de croissance, d’emploi, d’équité et de bien-être, tout en réduisant les risques environnementaux et les pénuries de ressources, à travers des axes stratégiques tels que l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, la gestion des déchets, la biodiversité, les transports verts et l’agriculture durable. Le pays a mis en œuvre des projets pilotes dans des secteurs clés, tels que le Programme de rénovation des bâtiments publics, qui vise à améliorer l’efficacité énergétique et à réduire les coûts opérationnels des bâtiments publics, à travers des mesures telles que l’isolation, le chauffage solaire, l’éclairage LED et les systèmes de gestion de l’énergie. Le programme a permis de rénover plus de 100 bâtiments publics et de réaliser des économies annuelles de 10 millions de dollars.

Dans le domaine des transports, l’Afrique est confrontée à des défis tels que la congestion, la pollution, la sécurité, l’accessibilité, la mobilité et la connectivité. Pour y faire face, l’Afrique a besoin d’un transport écologique, c’est-à-dire d’un mode de transport qui réduit les émissions de gaz à effet de serre, qui améliore la qualité de l’air, qui réduit la consommation d’énergie, qui favorise les modes de transport non motorisés et collectifs, qui intègre les principes de la planification urbaine durable, et qui renforce l’inclusion sociale et l’équité spatiale.

Dans le domaine de l’industrie, l’Afrique est confrontée à des enjeux de diversification, de compétitivité, de création d’emplois, de réduction de la pauvreté, de protection de l’environnement et de respect des normes internationales. Pour y répondre, l’Afrique a besoin d’une industrie écologique, c’est-à-dire d’un mode de production qui intègre les principes de l’éco-conception, de l’éco-efficacité, de l’économie circulaire, de la responsabilité sociale et environnementale, de la traçabilité et de la qualité. Plusieurs pays africains ont adopté des stratégies et des initiatives visant à promouvoir l’industrie écologique, notamment le Maroc, la Tunisie, l’Égypte, le Ghana, le Nigeria, le Kenya et l’Afrique du Sud. Par exemple, le Maroc a élaboré la Stratégie nationale de développement durable, qui vise à faire du Maroc un pays émergent à l’horizon 2030, en s’appuyant sur une croissance verte et inclusive, basée sur l’innovation, l’efficacité énergétique, la valorisation des déchets et la promotion des éco-industries. Le pays a créé le Cluster solaire marocain, qui regroupe plus de 100 acteurs publics et privés, et qui vise à développer une filière industrielle solaire compétitive et créatrice de valeur ajoutée. Le pays a également lancé le Programme national de gestion des déchets industriels, qui vise à réduire la production de déchets industriels, à améliorer leur collecte, leur traitement et leur valorisation, et à renforcer le contrôle et la réglementation. La Tunisie a mis en place le Programme national de promotion de l’écologie industrielle, qui vise à encourager les entreprises à adopter des pratiques d’éco-conception, d’éco-efficacité, d’économie circulaire, de symbiose industrielle et de management environnemental. Le pays a créé le Centre technique de l’industrie du textile et de l’habillement, qui accompagne les entreprises du secteur dans la mise en œuvre de l’écologie industrielle, à travers des formations, des audits, des conseils, des certifications et des labels. Le pays a également lancé le Projet de développement des éco-parcs industriels, qui vise à créer des zones industrielles intégrées, qui offrent des services communs aux entreprises, qui favorisent les synergies entre les acteurs, qui réduisent les impacts environnementaux et qui créent des emplois locaux. L’Égypte a développé le Programme national de promotion de l’éco-innovation, qui vise à soutenir les petites et moyennes entreprises dans l’adoption de solutions innovantes, qui améliorent leur performance environnementale, leur compétitivité et leur accès aux marchés. Le pays a créé le Centre d’excellence pour l’éco-innovation, qui offre aux entreprises des services de formation, de conseil, de financement, de mise en réseau et de diffusion des bonnes pratiques. Le pays a également initié le Projet de développement des éco-zones industrielles, qui vise à transformer les zones industrielles existantes en éco-zones, qui intègrent les principes de l’économie circulaire, de l’efficacité énergétique, de la gestion des déchets et des eaux usées, de la protection de la biodiversité et de la participation des parties prenantes.

Dans le domaine des transports, l’Afrique est confrontée à des défis de mobilité, de congestion, de pollution, de sécurité, de coût et d’accessibilité. Pour y faire face, l’Afrique a besoin d’un transport écologique, c’est-à-dire d’un mode de transport qui réduit la consommation d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la pollution de l’air et du bruit, qui améliore la sécurité routière, qui favorise les modes de transport alternatifs, tels que le transport en commun, le vélo, la marche, le covoiturage et l’autopartage, qui intègre les technologies de l’information et de la communication, et qui répond aux besoins des usagers. Plusieurs pays africains ont adopté des politiques et des projets visant à promouvoir le transport écologique, notamment le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Égypte, le Kenya, l’Éthiopie, le Rwanda et l’Afrique du Sud. Par exemple, le Maroc a mis en place le Plan national de lutte contre le changement climatique, qui vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports de 42 % d’ici 2030, en s’appuyant sur le développement du transport ferroviaire, du transport en commun, de la mobilité électrique et de la logistique verte. Le pays a développé le Réseau express régional (RER), qui relie les villes de Rabat, Salé et Kénitra, et qui transporte plus de 100 000 voyageurs par jour, en réduisant les temps de trajet, les coûts et les émissions de CO2. Le pays a également lancé le Programme national de développement du transport urbain, qui vise à créer des systèmes de transport en commun modernes et performants dans les principales villes du pays, tels que le tramway, le bus à haut niveau de service, le métro léger et le transport par câble. L’Algérie a élaboré la Stratégie nationale de développement durable, qui vise à faire de l’Algérie un pays émergent à l’horizon 2035, en s’appuyant sur une croissance verte et inclusive, basée sur l’efficacité énergétique, la diversification du mix énergétique, la promotion des énergies renouvelables et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le pays a créé le Programme national de développement du transport ferroviaire, qui vise à moderniser et à étendre le réseau ferroviaire national, en construisant plus de 6 000 km de nouvelles lignes, dont des lignes à grande vitesse, des lignes électrifiées, des lignes de fret et des lignes de banlieue. Le pays a également lancé le Programme national de développement du transport urbain, qui vise à créer des systèmes de transport en commun modernes et performants dans les principales villes du pays, tels que le métro, le tramway, le bus à haut niveau de service et le transport par câble. La Tunisie a mis en place le Plan national de développement, qui vise à faire de la Tunisie un pays émergent à l’horizon 2020, en s’appuyant sur une croissance verte et inclusive, basée sur l’innovation, la compétitivité, la diversification du tissu économique, la promotion des énergies renouvelables et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le pays a développé le Programme national de développement du transport ferroviaire, qui vise à moderniser et à étendre le réseau ferroviaire national, en construisant plus de 1 000 km de nouvelles lignes, dont des lignes à grande vitesse, des lignes électrifiées, des lignes de fret et des lignes de banlieue. Le pays a également lancé le Programme national de développement du transport urbain, qui vise à créer des systèmes de transport en commun modernes et performants dans les principales villes du pays, tels que le métro, le tramway, le bus à haut niveau de service et le transport par câble. L’Égypte a élaboré la Vision Égypte 2030, qui vise à faire de l’Égypte un pays émergent à l’horizon 2030, en s’appuyant sur une croissance verte et inclusive, basée sur l’innovation, la compétitivité, la diversification du tissu économique, la promotion des énergies renouvelables et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le pays a créé le Programme national de développement du transport ferroviaire, qui vise à moderniser et à étendre le réseau ferroviaire national.

Bibliographie

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Ministère de l’Énergie, des Mines et de l’Environnement du Maroc, 2020. Plan solaire marocain. Rabat : MEME.

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Lake Turkana Wind Power, 2020. Lake Turkana Wind Power Project. Nairobi : LTWP.

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Ministère de l’Environnement, de l’Économie verte et du Changement climatique du Burkina Faso, 2020. Programme national des biocarburants. Ouagadougou : MEEVCC.

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Ministère de l’Environnement, de l’Économie verte et du Changement climatique du Burkina Faso, 2020. Programme de gestion durable des terres. Ouagadougou : MEEVCC.

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